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Êtes-vous assez Shônen, Shôjo ou Seinen ? Dans la culture manga, ces trois mots caractérisent des « publics cibles » attendu l’âge et le sexe du lecteur. En effet, si le Shônen s’adresse aux jeunes garçonnets et le Shôjo aux jeunes dames, le style Seinen concerne mieux les adultes. Voici une collection de titres emblématiques pour davantage intercepter les subtilités de chaque genre. Avant toute chose, expliquons que ces distribution par âge et par sexe sont issues de lignes éditoriales qui, en aucun cas, ne cantonnent les lecteurs dans un genre complet. Il faut simplement comprendre qu’un héroïne change dans un Shônen et une brown sugar dans un Shôjo. Toutefois, filles et garçons ont la possibilité trimer dans les genres d’après leur spécificité. Il ne faut voir aucune dénuement à cette terme conseillé.si vous lisez des mangas, vous pourriez avoir bien entendu remarqué que ces derniers sont entièrement partagé non pas par genre parce que sur le continent européen ( magique, anticipation, tranche de vie, etc. ), mais par public muni d’une mention à l’endos. Shonen pour les petits garçons ( le Shonen Nekketsu en limpide ), Seinen pour les plus vieux ( essentiellement des hommes ici encore ), Shojo pour les jeunes filles, le Kodomo pour les plus jeunes. Il existe bien sûr d’autres genres ( tels que le yaoi, ou le hentai ), mais je préfère m’attarder sur les groupes les plus connues avec les modèles les plus marqués.Le type Shôjo se démarque du Shônen par la profondeur vécu de ses héroïnes. Des héroïnes qui tiennent le devant de la séquence. Les inordination, marquées par le romantisme et la parnasse, ne sont jamais dénuées de violence. Le Shôjo intériorise mieux la pensée des petites figurines. La sensible Candy ( accueilli du manga Candy Candy ) ou girl Oscar l’aventurière ( acquit du manga La Rose de Versailles ) jouent dans la même cour quand il s’agit de capter les pièges rattachés à leur condition de femme. Dans un style plus moderne Fruits Basket et Marmalade Boy disent chacun à leur façon les difficultés de s’épanouir lorsqu’on est une jeune lycéenne. Alors quand l’avenir s’acharne, nous devons compter sur la génial héroïne Sailor Moon pour arracher la activité qui habite en chacun de nous.Pour les plus néophytes des lecteurs, revenons à ces trois catégories : shonen, seinen et shojo. Les chapitres d’un manga étant publiés hebdomadairement ou mensuellement avec d’autres chapitres d’autres mangas, il est important de fournir une directrice afin que le lecteur se rencontre dans une multitude des mangas du guide. Ainsi les mangas à destination d’un public nautique relativement sont dénommés shonen ( qui définit conformément dire en japonais ), le déclivité féminin du shonen s’appelle le shojo et la version plus mature du shonen s’appelle le seinen. Ces trois termes sont les plus utilisés mais ne permettent pas de personnaliser touts les genres.Presque trente saisons après ses débuts, le monde totale ne parvient toujours pas à se remettre de le potentiel narrative de Dragon Ball. On pourrait en réalité lui donner le titre d’inventeur du style shônen, tant sa éclat est internationale. En France, il est nécessaire du premier avérée manga à avoir été localisé à grande échelle ( Akira à cela près ) par Glénat dès 1992. Sa renomée se mesure à l’échelle de 2012, où il est encore cinquième des ventes. Et si les États-Unis ont découvert Sangoku et ses copains sur le tard, ils ont relancé la machine avec une force hallucinante, réussissant à des dizaines d’adaptations sur consoles, jusqu’à un nouveau film, Battle of Gods, en 2013 ! Après docteur Slump, le succès ardent de Dragon Ball sera si influent pour son réalisateur, Akira Toriyama, qu’exceptés quelques ‘ one-shots ‘ et du character-design pour le console, il prendra sa retraite au terme de la groupe. Certains reliront ainsi encore et habituellement l’arc de ‘ Sangoku petit ‘, souvent plus inquiétant, gai, créateur et relativement apprenti.Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, Kitarô le apocalyptique est en fait… une comédie. Shigeru Mizuki créé son personnage phare en 1959 et connaîtra un colossale succès au soleil levant, dans la mesure où en témoigne ses nombreuses adaptations en changeant et en film ( le dernier long métrage journée tangent de 2008 ). Le reflet et la mise en page du mangaka sont assez traditionnels, la activité de l’artiste se situant assez dans ce qu’il a réussi à faire du folklore des monstres japonais. Tout en leur mettant un design original soit extrême, ou gai, il va contester à ses désintégration et ses personnages une dimension populaire mouvant de la noir à la légèreté.
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